• Adieu Powerpoint

    J’ai remarqué que ces derniers temps, le contenu des articles populaires ne correspondaient pas à leur titre. J’ai donc fait pareil. Alors oui, cet article parle de slides et de présentations, mais pas de Powerpoint puisque je ne l’utilise plus depuis une quinzaine d’années.

    Impress vs Powerpoint vs Keynote

    J’aurais pu l’utiliser puisque j’ai euun laptop sous MacOS X et il existe une version pour cet OS. Par contre, je ne sais pas si elle est de bonne qualité, je n’ai jamais voulu essayer.

    Je n’ai jamais voulu essayer MS Powerpoint ou Apple Keynote parce qu’ils produisent des fichiers que je suis incapable d’utiliser sous Linux. La portabilité des fichiers est un point fondamental. Donc pour faire des slides sous MacOS / Linux, j’utilise OpenOffice / LibreOffice Impress.

    Ça n’a jamais été un logiciel extraordinaire, mais j’ai fait tous mes supports de cours avec. J’ai souvent pesté contre l’outil, il m’a fait perdre du temps, mais tant qu’il faisait le boulot, je l’ai conservé. Et puis que prendre à la place ?

    Cette année j’ai craqué. Je n’en peux plus d’Impress : plantages, pertes de mise en forme, incompatibilité entre la version Linux et MacOS. Je laisse tomber. Mais que prendre à la place ?

  • Migration du blog

    De Blogger…

    J’ai démarré ce blog en 2010 sur Blogger. L’intérêt de la plateforme, c’était de pouvoir démarrer sans effort : rien à installer, rien à déployer et un minimum de configuration.

    Le revers de la médaille, c’est que l’éditeur WYSIWYG n’est pas très pratique pour un blog orienté développement, surtout pour les extraits de code.

    Ça faisait des mois que j’envisageais de changer de plateforme, mais comme tout travail non prioritaire, je reportais au lendemain. L’été dernier, j’ai enfin pris le temps de m’en occuper.

    … à Jekyll

    Il existe pas mal d’alternatives à Blogger. La plus populaire est certainement Wordpress. Il y a aussi plein de générateurs de sites statiques, et ça, ça me plait bien. Le principal intérêt, c’est pour le déploiement : un simple serveur Web, sans base de données ou runtime.

    Parmi les générateur, il y a aussi pas mal de possibilités. J’ai choisi de ne pas trop chercher. J’ai pris la une solution mainstream avec Jekyll.

  • Comment faire du CORS avec Tomcat ?

    Avec la mode des single page applications, il est devenu courant de faire du CORS. On met le front-end et le back-end dans des projets séparés et on les teste dans des runtimes séparés.

    Pour mon projet actuel, le back-end est en Spring MVC 4 qu’on déploie dans Tomcat et le front-end est en Angular 4 qu’on exécute avec ng serve.

    Dans ces conditions, le navigateur charge l’application sur http://localhost:4200 et les données sur http://localhost:8080. Le navigateur devra refuser ces dernières si le serveur n’a pas explicitement autorisé leur exploitation depuis une autre origin.

  • Vert.x : "Don't block the event loop", même en debug ?

    Logo Vert.x

    Il y a une règle essentielle dans Vert.x. Elle est affichée, répétée dans la documentation, mais elle me gène pour debugger :

    Don’t block the event loop

    Voilà pourquoi, et comment j’ai contourné le problème…​

    Mes débuts en Vert.x

    J’ai débuté récemment avec Vert.x 3, après avoir assisté à des conférences de Julien Viet, Clément Escoffier, Julien Ponge et Thomas Segismont. Ils sont tous les quatre français et font partie de l’équipe de développement de Vert.x.

    J’ai été convaincu par leurs présentations. Si vous voulez jeter un coup d’œil, certaines sont disponibles en vidéo :

  • Le jour d'après MacBook

    le jour d apres tour eiffel

    Le mois dernier, j’avais annoncé ma décision de remplacer mon Mac Book Pro par un laptop Linux. L’article avait suscité pas mal de réactions, ce qui me fait penser que je ne suis pas le seul à vouloir faire ça. Depuis, j’ai commandé et reçu un Dell Precision 5510.

    Après avoir installé, configuré et testé ma nouvelle machine, je voulais raconter mes premières semaines. Si vous ne voulez pas lire la suite, je résume : ça s’est parfaitement bien passé. Mais en fait pas tout à fait.